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LAfricaMobile devient le premier agrégateur services mobiles au Sénégal et en Afrique francophone

Catégorie : Mobile

Qu’est ce que le TTS ou Text To Speech ?
Qu’est ce que le TTS ou Text To Speech ?

L’intelligence artificielle (IA) est un domaine en constante évolution de l’informatique, consacré à la création de systèmes informatiques capables d’accomplir des tâches complexes et variées habituellement associées à l’intelligence humaine. Ces tâches incluent la reconnaissance de la parole, la vision par ordinateur, la prise de décision, et bien d’autres.

L’une des applications les plus captivantes de l’IA est la synthèse vocale, également connue sous le nom de Text-to-Speech (TTS). Cette technologie a connu d’énormes progrès au fil des années, permettant à un ordinateur de convertir du texte en une voix naturelle et claire, à un point où elle devient presque indiscernable de la manière dont une personne s’exprime.

Pourquoi le TTS en wolof?

Le wolof est la langue la plus répandue au Sénégal, parlée par environ 9 millions de personnes. Elle est également utilisée en Gambie et en Mauritanie. En tant que lingua franca, elle facilite la communication entre les différentes ethnies du pays. Avec plus de 80% de la population sénégalaise la comprenant, le TTS (text-to-speech) en wolof constitue un moyen de communication attractif pour les entreprises publiques et privées afin d’atteindre un large public. Cela leur permet de nouer des liens solides avec leurs clients pour le développement de leurs activités.

Fonctionnement du TTS

La solution TTS de LAfricamobile apporte des fonctionnalités révolutionnaires et uniques, notamment :

  • Donne la possibilité de traduire un texte français en texte wolof.
  • Vocalisation d’un texte wolof en une voix wolof naturelle.
  • Pas besoin d’insérer des balises pour vocaliser en wolof : cela inclut les chiffres, les montants, les dates et les heures.
  • Possibilité d’envoyer la voix vers un numéro de téléphone ou de lancer une campagne vocale.

Ces fonctionnalités permettent aux entreprises de mieux communiquer en wolof avec leurs clients, en surmontant les défis liés à l’analphabétisme et en facilitant une interaction plus efficace.

 

Avantages du TTS

La synthèse vocale du français vers le wolof, ou Text-to-Speech (TTS) en français vers la langue wolof, offre des avantages spécifiques, notamment dans les régions où le wolof est largement parlé. Voici quelques-uns des avantages de cette technologie :

Accessibilité linguistique : Permet aux locuteurs francophones de communiquer avec des locuteurs wolofs, en surmontant la barrière de la langue. Cela peut être utile dans des situations de communication interculturelle.

Inclusion : Favorise l’inclusion des communautés wolof, en particulier de ceux qui n’ont pas de compétences en français ou qui préfèrent la communication en wolof.

Accessibilité numérique : Facilite l’accès à des informations et des services numériques pour les personnes analphabètes, y compris l’accès à des sites web et des applications en ligne.

Efficacité de la communication : Améliore l’efficacité de la communication en permettant aux utilisateurs de recevoir des informations dans leur langue maternelle, ce qui est souvent plus compréhensible et engageant.

Économie de temps et de coûts : Réduit les coûts de traduction et d’enregistrement de voix humaine pour la synthèse vocale en wolof, ce qui peut être particulièrement bénéfique pour les entreprises.

En somme, la synthèse vocale du français vers le wolof répond à des besoins spécifiques de communication dans les régions où le wolof est prédominant. Elle contribue à l’accessibilité, à l’inclusion et au développement de contenus numériques dans cette langue, tout en réduisant les obstacles linguistiques pour une communication plus efficace.

Use case

Réalisation de campagnes en wolof: Diffusez votre Message en wolof la langue parlée par plus de 80% de la population sénégalaise (soit 9 416 000 individus). Notre système innovant permet la traduction de textes rédigés en français en Wolof, puis leur vocalisation, offrant ainsi la possibilité de diffuser le message via un numéro ou de lancer une campagne ciblée.

Assistance clientèle pour les entreprises : Les entreprises souhaitant améliorer leur service client en Wolof peuvent désormais intégrer un assistant virtuel doté de la technologie de synthèse vocale (TTS). Les clients peuvent poser leurs questions dans leur langue maternelle, et l’assistant fournira des réponses vocales en temps réel. Cela facilite la communication avec la clientèle, réduit les temps d’attente et améliore l’expérience client.

Services d’information gouvernementale : les organismes gouvernementaux peuvent désormais utiliser le wolof pour diffuser des informations cruciales aux citoyens. En cas d’alerte météorologique, de campagnes de santé publique ou d’annonces relatives à des programmes sociaux, l’assistant virtuel peut vocaliser ces informations de manière claire et précise en Wolof.

 

 

Communiqué de presse : LAfricaMobile devient le premier agrégateur services mobiles au Sénégal et en Afrique francophone
LAfricaMobile, premier agrégateur du secteur des communications électroniques au Sénégal

Dakar, le 07 mars 2024 Première plateforme de communication et de marketing mobile en Afrique, LAfricaMobile est depuis le 26 févier 2024, le premier fournisseur de services d’agrégateur au Sénégal.

Ainsi que mentionné par l’Autorité de régulation des télécommunications et des postes du Sénégal, la start-up créée en 2014 et présente dans 9 pays d’Afrique sera connectée aux infrastructures des trois opérateurs de téléphonie à licence globale, à savoir Orange-Sonatel, Expresso et Free.

En tant qu’interface stratégique entre les fournisseurs classiques de service à valeur ajoutée et les sociétés de téléphonie, LAfricaMobile va jouer un rôle fondateur en améliorant l’expérience utilisateur et en optimisant les processus opérationnels pour les différentes parties prenantes du secteur.

« Le rôle d’agrégateur officiel va structurer davantage l’écosystème des télécoms au Sénégal et en Afrique, en apportant plus de simplicité à la fois aux opérateurs télécoms mais aussi et surtout, à l’ensemble des entreprises qui ont ce besoin d’utiliser l’infrastructure télécoms pour créer plus de valeur ajoutée », assure Malick Diouf, CEO et co-fondateur de LAfricaMobile , particulièrement reconnaissant à l’endroit de tous les acteurs qui se sont mobilisés pour que cette grande première soit une réalité.

« Nous profitons de cette occasion pour remercier toutes les parties prenantes qui ont rendu cela possible; particulièrement l’ARTP, les opérateurs télécoms, le Comité de Développement des SVA et tous les fournisseurs de Services à Valeur Ajoutée », indique Monsieur Diouf. En tant qu’agrégateur , LAfricaMobile est chargée de « faciliter l’interconnexion et la distribution efficace des services SVA et des contenus aux utilisateurs, permettant ainsi de réduire les délais y afférents », précise le Directeur général de l’ARTP, Monsieur Abdou Kaim Sall, rappelant que « l’Agrégateur SVA joue un rôle essentiel en tant qu’interface stratégique entre les fournisseurs classiques de services à valeur ajoutée et les opérateurs de communications électroniques ».

Cette signature du cahier des charges entre le régulateur sénégalais des télécommunications et des postes et LAfricaMobile coïncide avec les 10 ans de cette entreprise prometteuse, présente au Sénégal, au Burkina Faso, au Mali, en République Démocratique du Congo, au Togo, en Côte d’Ivoire, au Niger, au Bénin, et en Guinée Conakry.

LAM ambitionne de faire de la téléphonie mobile, un levier de croissance pour les entreprises en Afrique, en aidant les acteurs du tissu économique du continent à créer un lien avec leurs clients pour un meilleur développement de leurs activités.

 

Contacts presse :

Mame Diarra FALL
Responsable Marketing et Communication
+221774452904 / 338425855
d.fall@lafricamobile.com/ contact@lafricamobile.com


Télécharger le communiqué de presse 

 

Signature du cahier de charges de LAfricaMobile à Barcelone

(Barcelone) – Le Directeur général de l’Autorité de Régulation des Télécommunications et des Postes (ARTP) qui participe actuellement aux travaux du Congrès mondial de la téléphonie mobile (Mobile World Congress – MWC 2024) a procédé, en marge de cette conférence, à la signature du cahier des charges du premier fournisseur de services d’agrégateur au Sénégal.

La cérémonie, ponctuée par une certaine sobriété, a eu lieu ce lundi 26 février 2024 en terre barcelonaise entre M. Abdou Karim SALL, Directeur général de l’ARTP et M. Malick DIOUF, président directeur de la startup LAFRICAMOBILE qui a fini de se positionner comme étant le premier agrégateur du secteur des communications électroniques au pays de la Téranga.

Selon le communiqué officiel de l’Autorité de Régulation des Télécommunications et des Postes relatif à cet événement majeur « l’agrégateur de services à valeur ajoutée, agissant ainsi comme un pont technologique, offre aux fournisseurs de SVA un accès direct aux réseaux des opérateurs ». 

Cela va simplifier davantage l’implémentation des numéros courts SVA et des codes USSD. 

En somme, « grâce à ses capacités d’intégration, son expérience et sa gestion des flux de données, l’agrégateur LAFRICAMOBILE aura pour tâche essentielle de renforcer l’expérience des utilisateurs et optimiser les processus opérationnels pour toutes les parties impliquées ».

Pour le Directeur général de l’ARTP, « l’agrégateur SVA joue un rôle essentiel en tant qu’interface stratégique entre les fournisseurs classiques de services à valeur ajoutée et les opérateurs de communications électroniques ».

L’agrégateur en question sera connecté aux infrastructures des trois opérateurs de téléphonie au Sénégal. Ainsi, « il va faciliter l’interconnexion et la distribution efficace des services SVA et des contenus aux utilisateurs, permettant ainsi de réduire les délais y afférents », souligne M. Abdou Karim SALL, co-signataire du cahier des charges du premier fournisseur de services d’agrégateur au Sénégal en présence des membres de sa délégation et d’autres responsables de LAFRICAMOBILE. 

L’un dans l’autre, l’entrée de cet agrégateur dans le secteur des communications électroniques au Sénégal répond à un besoin pressant de l’écosystème SVA par la promotion indirecte de l’innovation et des Startups qui en sont l’incarnation.

Ce dont se réjouit M. Malick DIOUF, jeune startup sénégalaise et patron de LAFRICAMOBILE. 

Source: ARTP
À Emerging Valley / Malick DIOUF, CEO de LAfricaMobile : « En 2024, un milliard d’Africains auront un téléphone mobile… »
À Emerging Valley / Malick DIOUF, CEO de LAfricaMobile : « En 2024, un milliard d’Africains auront un téléphone mobile… »

Malick DIOUF – « LAfricaMobile » est une entreprise panafricaine qui accompagne les marques et entreprises africaines à communiquer efficacement avec leurs clients sur le téléphone mobile. Parce que celles-ci sont confrontées à deux grandes problématiques en termes de communication et de marketing.

La première, c’est qu’elles doivent parler avec des clients dont certains sont connectés avec des smartphones et d’autres qui sont encore sur de vieux téléphones à touches ou boutons, sans écran et en-dessous de la 3G.
La seconde, c’est que l’on a malheureusement en Afrique une bonne partie de la population qui est encore illettrée. Ce qui veut dire qu’ils ne sont pas capables de décrypter de façon efficace tous les SMS ou messages qui circulent sur les réseaux sociaux.

APP – C’est donc un véritable casse-tête pour les marques…

Malick DIOUF – Elles se retrouvent en effet face à des gens connectés à Internet et ont le même smartphone que vous et moi, mais aussi face à d’autres qui n’ont pas Internet et sont encore sur la 2G ou la 3G. Il y a donc des gens lettrés et d’autres qui sont illettrés, incapables de lire. Ils ne réagissent qu’aux messages oraux, et de surcroît dans leurs langues locales.

Les départements Marketing de grandes sociétés comme Coca Cola, Canal + ou Orange sont donc confrontés à une véritable question : comment faire pour toucher une si grande diversité de clientèle ? Comment faire pour harmoniser tout cela de façon efficace et efficiente ?

APP – Quelle innovation avez-vous trouvée pour faire face à cette situation ?

Malick DIOUF – Pour résoudre ce problème concret, on a développé une plateforme qui mixte tout un ensemble de technologies. Et qui permet d’envoyer des messages textes à ceux qui savent lire, des messages audio à ceux qui ont Internet via WhatsApp, mais également des messages locaux dans les langues africaines. C’est en quelque sorte une « smart » plateforme qui utilise l’Intelligence artificielle et permet ainsi à la marque de nous envoyer un ensemble de textes qui peuvent être traduits, vocalisés et envoyés en wolof par exemple, le plus répandu des dialectes sénégalais qui est non seulement la langue nationale du Sénégal, mais aussi couramment utilisé au Mali, au Burkina, au Bénin, au Togo, etc.
Notre objectif est d’arriver à une communication efficace sur une cible qui, par nature, est diversifiée en fonction de leur éducation et du téléphone qu’ils ont entre les mains.

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« Tous les ans, on brasse déjà
plus de 100 millions de messages ! »

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APP – Cette surprenante invention est évidemment utile au-delà du Sénégal…

Malick DIOUF – En effet ! On est déjà présent dans une dizaine de pays en Afrique de l’Ouest et en Afrique Centrale, plutôt francophones. Nous avons des bureaux en RDC, en Côte d’Ivoire, au Sénégal, au Mali, au Togo. « LAfricaMobile » existe depuis 2014 et on est donc aujourd’hui une startup très avancée avec une trentaine de collaborateurs qui travaillent à l’extension et l’amélioration de ce projet. Pour vous donner une idée de ce que cela représente en termes de volume : tous les ans, on brasse déjà plus de 100 millions de messages, venant de 18 pays, ce qui est énorme !

APP – Et votre entreprise prospère ?

Malick DIOUF – Elle se développe. On a eu la chance de réussir à faire déjà deux fois des levées de fonds, avec Business Angels en 2018, puis en 2020 avec I&P (Investisseurs et Partenaires), un fonds français d’investissement d’impact. Aujourd’hui, on est dans une phase de série A pour pouvoir continuer à nous développer et apporter des solutions aux entreprises africaines de façon globale.

APP – C’est vous qui êtes à l’origine de cette invention ?

Malick DIOUF – Au départ, j’avais un associé, un ami de toujours avec lequel j’ai fait mes classes. On a commencé à travailler ensemble dans les grandes écoles, on en est sorti et on a lancé ce projet là. On a commencé à le tester chez nous, au Sénégal, pour bien comprendre la problématique de ce marché, avant de le lancer dans les pays limitrophes, notamment au Mali, en Côte d’Ivoire, en Guinée Conakry et en Guinée Bissau. C’est comme cela que nous avons essaimé dans un deuxième temps dans les pays de l’UEMOA (Union Économique et Monétaire de l’Ouest Africain).
Aujourd’hui, mon associé est parti et a vendu ses parts, mais en revanche des fonds d’investissement sont entrés dans notre tour de table et m’accompagnent dans ce projet.

APP – Sur quel thème était votre panel, à Emerging Valley ?

Malick DIOUF – J’ai participé à un panel consacré à ce que l’on appelle la « legal tech ». Avec cette question posée à tous : comment la « legal tech » va permettre aux entreprises innovantes et rapides comme nous de pouvoir se développer à l’international entre l’Europe et l’Afrique ? C’est en logique parfaite avec notre ADN puisque « LAfricaMobile » a une antenne à Lyon.

Aujourd’hui, certains acteurs français travaillant en Afrique veulent en effet nous parler d’abord en France. On a aussi des investisseurs qui s’impliquent dans ce projet via cette antenne à Lyon.
Notre problématique majeure est celle-ci : comment fait-on quand on est une société sénégalaise dans un milieu aussi fragmenté où le droit des affaires n’est pas harmonisé ? Comment fait-on, nous autres entrepreneurs, pour naviguer dans un environnement aussi différent et fragmenté sur le plan juridique ? Car le droit des affaires n’est pas le même en Gambie, en Mauritanie ou au Sénégal.
Personnellement, je suis basé à Dakar et mon équipe aussi, mais je passe aussi beaucoup de temps à Lyon pour les raisons que je viens d’évoquer…

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« Nous étions avec Samir Abdelkrim
dans le même incubateur au CTIC Dakar »

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APP – C’est la première fois que vous venez en Provence pour Emerging Valley ?

Malick DIOUF – Non, c’est la troisième fois car je fais partie des chanceux qui ont participé aux premières éditions d’Emerging Valley. Car quand son fonatur Samir Abdelkrim a fait sa tournée des startups africaines, il a commencé par le Sénégal et plus précisément dans un incubateur qui s’appelle le CTIC Dakar où, mon associé et moi, nous étions en 2016.
Nous avons donc déjà eu l’honneur de venir ici pour parler des innovations que nous mettons en œuvre au niveau du Continent, mais également de toutes les opportunités d’affaires qu’il y a aujourd’hui en Afrique.

Il y en a énormément, mais l’on ne s’en rend pas toujours compte. Je vous donne un exemple : l’année prochaine, il y aura un milliard de personnes qui auront un téléphone mobile en Afrique ! Ce qui représente, bien sûr, une opportunité incroyable pour les entreprises africaines. Tous ceux qui ont manqué jusqu’à présent de digitalisation vont enfin avoir un outil leur permettant de toucher leurs clients de façon directe, sans intermédiaire.
Je pense donc que développer ce secteur de la communication et du marketing sur le téléphone mobile va être un levier extraordinaire de croissance des entreprises en Afrique.

APP – Et cela peut changer la donne économique en Afrique ?

Malick DIOUF – Absolument ! J’ai envie de dire que nous sommes en ce domaine des ambassadeurs. Les politiques parlent de développement mais se demandent toujours comment retenir la jeunesse africaine sur le Continent.

Notre réponse, c’est qu’il faut leur donner des opportunités d’affaires et d’emplois décents pour pouvoir développer leurs activités sur place et développer les écosystèmes où ils vivent tous les jours. Dès lors, ces jeunes n’auront plus besoin de partir et de s’aventurer sur des pirogues pour traverser la Méditerranée. Car tout ce dont ils rêvent d’aller chercher là-bas, en Europe, ils auront demain la possibilité et la capacité de le faire chez eux, dans leur propre pays.

Propos recueillis l’envoyé spécial à Aix-en-Provence,
Bruno FANUCCHI
pour AfricaPresse.Paris (APP) 

source: @africa_presse

Qu’est ce que l’API ?

Dans cet article, nous vous proposons de découvrir la définition d’une API, ses avantages, ses types et ses exemples d’utilisation.

Qu’est-ce qu’une API ?                                                                                                                                                                                                                  Une API (Application Programming Interface) est une solution informatique qui permet à des applications de communiquer entre elles et de s’échanger mutuellement des services ou des données. Par exemple, une API peut vous permettre d’accéder aux informations météorologiques d’un site web depuis votre application mobile. Une API est constituée d’un ensemble d’outils, de définitions et de protocoles qui facilitent l’intégration et la connectivité des logiciels et des données. Elle sert d’intermédiaire entre les plateformes informatiques et permet à deux applications sans rapport de « dialoguer » entre elles. Quels sont les avantages des API ? Les API présentent de nombreux avantages pour les développeurs, les utilisateurs et les fournisseurs de services. Elles permettent notamment de : • gagner du temps et de l’argent en évitant de recréer et de redévelopper entièrement une application pour y ajouter des fonctionnalités ou des données existantes. • simplifier la conception et la maintenance des logiciels en utilisant des méthodes standardisées pour accéder aux ressources externes. • favoriser l’innovation et la créativité en permettant aux développeurs d’exploiter les services et les données d’autres applications. • élargir la portée et la visibilité des services en les rendant accessibles à un plus grand nombre d’utilisateurs et de partenaires.

Quels sont les types d’API ?                                                                                                                                                                                                                Il existe différents types d’API selon le niveau d’accès, le protocole ou l’architecture qu’elles utilisent. On peut distinguer : • les API privées, qui sont réservées à un usage interne au sein d’une organisation ou d’un système. • les API partenaires, qui sont partagées avec des partenaires spécifiques afin d’assurer des flux de revenus supplémentaires ou de renforcer la collaboration. • les API publiques, qui sont ouvertes à tous les utilisateurs et qui favorisent l’innovation ouverte. • les API SOAP (Simple Object Access Protocol), qui sont basées sur un protocole standardisé qui définit la structure des requêtes et des messages entre les applications. • les API REST (Representational State Transfer), qui sont basées sur un style d’architecture qui utilise les principes du protocole HTTP pour faciliter la communication entre les applications.

Quels sont les exemples d’utilisation des API ?                                                                                                                                                                              Les API sont partout et sont utilisées au quotidien pour enrichir ou simplifier nos expériences numériques. Voici quelques exemples d’utilisation des API : • lorsque vous utilisez une application de navigation comme Google Maps, vous utilisez une API qui se connecte à la base de données géographiques de Google pour afficher la carte et le trajet sur votre écran. • Lorsque vous partagez un article sur les réseaux sociaux comme Facebook ou Twitter, vous utilisez une API qui se connecte aux plateformes sociales pour publier votre contenu et le diffuser à vos contacts.

« Coupe du Monde de football 2022 : tous connectés ! »

Nul doute que la Coupe du Monde va contribuer au développement de l’univers numérique et du mobile avec des milliards d’échanges de contenus ou de visionnages de vidéos via les SMS, WhatsApp et les médias sociaux au sens large. En effet, La télévision n’a plus le monopole de la diffusion en direct. Smartphones, smartwatch, ordinateur, portables, tablettes, consoles de jeu, TV connectée, streaming… sont venus chambouler son règne sans partage. Une nouvelle génération de « téléspectateurs » vient changer radicalement la manière de vivre la retransmission en direct de grands évènements sportifs. Il est désormais has-been de subir le match. On l’analyse, on le commente, et on s’engage avec son propre réseau d’amis pour livrer ses propres impressions. 

Sadio Mané est forfait pour la Coupe du monde 2022 ! La Une du journal en ligne français, L’Équipe, a donné des frayeurs au public d’amateurs de foot sénégalais à deux semaines de la compétition. Mais, plus que l’inquiétude, cette information a aussi créé un séisme en ligne, provoquant des réactions en chaine sur la véracité de l’information. Dans ce pays qui comptait 3,90 millions d’utilisateurs de médias sociaux en janvier 2021, l’affaire a fait grand bruit sur la toile. Comme il est de coutume quand il s’agit de la star de l’équipe sénégalaise, ou plus généralement quand il s’agit du onze nationales, l’écosystème du net sénégalais, et même africain devient agité. 

Cette fièvre du foot exprimée par les Sénégalais à travers cet incident est dans le sillage d’une tendance mondiale. Parmi les ligues et les événements sportifs mondiaux, la Coupe du Monde de la FIFA est le plus important. Elle polarise une grande attention, attirant plus de la moitié des internautes du monde entier, soit 56 %, selon le Global Web Index’s online. 33 marchés sur 40 citent le football comme la discipline la plus suivie, avec une avance considérable de 25 points sur la natation, le deuxième sport le plus regardé. À l’exception de l’Amérique du Nord, le football arrive en tête dans toutes les régions. 

Aujourd’hui, les appareils numériques font partie intégrante de la vie quotidienne, quel que soit l’âge, la classe sociale ou la zone géographique. Dans le monde, environ 70 % des personnes regardent la télévision en utilisant simultanément un deuxième écran pour s’occuper ou se divertir. Après des années de règne incontesté, la suprématie de la télévision et des ordinateurs est désormais remise en cause par l’arrivée massive de plus petits écrans qui ont véritablement révolutionné les pratiques numériques. Ces nouveaux supports se sont imposés comme des outils essentiels du quotidien, générant de nouvelles habitudes et de nouveaux besoins.

Grâce à leur téléphone portable, les amateurs de sport choisissent de suivre les scores et les temps forts quand et où ils le souhaitent, qu’il s’agisse de consulter Twitter pour connaître les derniers résultats et les commentaires les plus récents, ou en regardant les meilleurs moments du match sur un site web d’un diffuseur de sport. Dans deux régions, Asie-Pacifique et le MEA (Moyen-Orient & Afrique), le visionnage des sports sur le mobile a même dépassé le visionnage des matchs sur le Web.

De ce fait, les grandes écuries sportives – comme les grandes compagnies – se bousculent constamment pour se démarquer du flot continu de contenu que constituent les médias sociaux. Qu’il s’agisse de Facebook ou de Twitter, d’Instagram ou de Snapchat, elles dépendent fortement de leur capacité à atteindre et à engager leurs fans sur les différents canaux de médias sociaux.

Double écran : 50 % des Gen-Z africains suivent ce que font leurs amis pendant un match

Sans surprise, le téléphone portable est l’outil le plus utilisé pour le second screening avec 67 % d’utilisateurs dans le monde. La plupart des amateurs de sport cherchent à se connecter avec d’autres fans et à la réaction de leurs amis aux matchs en temps réel. Guetter la réaction de son réseau d’abonnés tout en regardant un match est aussi devenu une tendance, notamment chez les Gen-Z (16-24 ans) africains. 50 % d’entre eux suivent ce que font leurs amis pendant une rencontre sportive, tandis que 51 % d’entre eux engagent un chat avec leurs amis tout en regardant la télé. Plus de la moitié de ces amateurs de sport citent les médias sociaux et les amis comme leurs principales activités – un résultat commun à toutes les régions du monde, à l’exception de l’Amérique du Nord, où les amateurs sont les plus enclins à lire leurs courriels en faisant du second visionnage.

Mobile World Congress Africa 2022 au Rwanda : l’Afrique, épicentre de l’écosystème tech mondial

Du 25 au 27 octobre 2022, le Rwanda sera la capitale mondiale de la connectivité et de l’innovation mobile. Le centre des conventions de Kigali accueillera le Mobile World Congress Africa 2022 pour reconnecter, ré-imaginer et réinventer un écosystème des télécommunications en constante évolution. LAfricamobile, plateforme de communication multi-opérateurs et multicanale panafricaine, répond présent, pour sa cinquième fois à cet évènement mondial.

Les bonnes nouvelles s’enchaînent. Après le Sénégal qui réussit à garder sa qualité d’état membre à la Conférence des plénipotentiaires de l’Union internationale des télécommunications (UIT), c’est l’Afrique entière qui s’honore d’accueillir pour la première fois la grand-messe annuelle des télécoms : le Mobile World Congress (MWC). Le MWC Africa 2022 va présenter les tendances les plus récentes en matière de connectivité et d’innovation mobile. L’ensemble de l’écosystème se réunit en face-à-face pour nouer des relations solides, explorer les dernières technologies et apprendre des leaders d’opinion qui font avancer le secteur. Le choix du MWC Africa 2022 est doublement symbolique : c’est la première édition mondiale ouverte au public depuis la survenue de la Covid-19 ; ensuite elle se tient dans un pays africain qui a fait de la croissance digitale un des piliers de son émergence. Le Rwanda s’est même doté d’un Centre pour la 4e révolution industrielle du Rwanda (C4IR Rwanda). Paul Kagamé, président de la République du Rwanda, ouvrira les débats pour ce rendez-vous regroupant plus de 1 500 exposants d’environ 180 pays. 

Solutions digitales pour le changement climatique et l’inclusion financière

Parmi les huit sujets de discussions pour ces trois jours, les solutions digitales aux changements climatiques et les questions monétaires occupent le cœur du débat. Les phénomènes météorologiques extrêmes sont plus fréquents, entrainant des régimes climatiques moins prévisibles et une pression accrue sur les systèmes alimentaires. L’Afrique souffre de ces dérèglements alors que les pays industrialisés en sont les principaux responsables. La technologie numérique apparait comme une solution lorsqu’elle est adoptée et adaptée à un cadre de politiques favorables et de partenariats intersectoriels solides. Elle sera particulièrement bien placée pour renforcer la capacité des sociétés, des systèmes naturels et des chaînes de valeur agricoles à faire face aux risques, tendances ou catastrophes liées au climat, et à s’en remettre. 

Quant à la question de la digitalisation financière, qui occupera l’essentiel des débats, elle sera abordée sous tous ses angles (résilience, sécurité des transactions, inclusion financière…). Le secteur des technologies financières est très dynamique en Afrique, son terrain de prédilection. 50 % de toutes les start-ups fintech se trouvent en Afrique. Il y a donc de nombreuses conversations qui, selon nous, sont pertinentes dans la région. Nous aurons un sommet 5G basé sur les fintechs ainsi qu’un programme  « Shared Value Africa » qui invitera des parties prenantes de divers secteurs, notamment les secteurs bancaires et manufacturiers. En fait, de nombreux programmes sont en préparation. Et ces initiatives ne sont pas seulement bonnes pour la connectivité, mais aussi pour l’action climatique et la durabilité. Des fintechs qui ne sont pas étrangères au record de 1 000 milliards de dollars de transactions traitées en 2021 dans le monde pour la première fois. La croissance remarquable du secteur de l’argent mobile est de plus en plus attribuable aux transactions effectuées par des tiers et sera l’objet d’une session spéciale. 

5G vs 6G, Internet vs télécoms 

En dehors de ces points spécifiques au continent africain, les points d’achoppement plus globaux persistent. Le secteur est en constante disrupture. Alors que la 5G n’a pas encore déployé toute l’étendue de son immense potentiel, l’absence de débats sur la 6G à l’édition précédente fait jaser. La 6G a probablement fait les frais d’un choix politico-économique : l’industrie peut-elle vraiment parler d’une nouvelle génération potentiellement coûteuse avant d’avoir rentabilisé les investissements consentis sur sa prédécesseur ? Il est apparu au cours des discussions, lors du MWC 2022, que les réseaux 5G privés émergent plus lentement que ne le laissent entendre l’optimisme généralisé. L’UIT doit définir une vision pour la 6G à la fin de cette année 2022, et le prochain MWC23 pourrait donc être très différent. 

Autre point d’intérêt, la neutralité du réseau. Ce principe aux contours flous selon lequel les opérateurs ne doivent pas faire payer les entreprises de contenu pour le transport, ou offrir un traitement préférentiel aux entreprises Internet payantes, est toujours l’objet de nombreux débats. « Les opérateurs ne peuvent pas se contenter de supporter gratuitement le coût des fournisseurs de métavers », avait déclaré Laurent Leboucher, directeur technique du groupe français Orange lors du MWC précédent. Avec le métavers, qui devient l’un des plus grands gamechanger, les sociétés Internet sont appelées à voir leurs prérogatives leur échapper. Des fournisseurs IT comme Dell et VMware proposent déjà aux opérateurs de virtualiser les fonctions 5G des équipementiers sur des serveurs peu chers, légers et plus faciles à maintenir. Une technique qui pourrait signifier la colonisation du marché des télécoms par les IT.

LAFRICAMOBILE, plateforme de communication multi-opérateurs et multicanale panafricaine est présente à ce congrès mondial de la téléphonie mobile, inédit sur le continent africain.  « LAfricaMobile est très honoré de participer à ce premier Mobile World Congress en Afrique, organisé par la GSMA. L’industrie des télécommunications a conscience que les acteurs africains ont leur rôle à jouer et leur voix à faire entendre dans les décisions prises dans l’écosystème. Ce sera également l’occasion de mettre en avant l’innovation des entreprises africaines par rapport aux besoins locaux », a déclaré son président-Directeur général, Malick Diouf. 

Pour vos solutions business et management dans l’écosystème tech sur le continent africain, merci de nous rendre visite au stand 26.

Contact : contact@lafricamobile.com

Cliquez ici pour voir la video : ICI  👈

 

digitalisation de la relation client
Booster la relation client à l’ère numérique : quand la connectivité et l’omnicanal changent la donne

Booster la relation client à l’ère numérique : quand la connectivité et l’omnicanal changent la donne

Les consommateurs se sont tournés en nombre vers le numérique depuis la pandémie mondiale de coronavirus. Pour de nombreuses entreprises, ces changements imprévus ont mis en évidence un besoin urgent d’améliorer l’expérience client et de la rationaliser sur tous les canaux. Les organisations qui exploitent les données, promeuvent leurs valeurs, et créent un parcours client omnicanal convaincant, seront bien placées pour réussir dans un avenir en mutation.

Que signifie donc booster sa relation client au 21e siècle où l’élargissement de la connexion à Internet, via les smartphones, offre aux consommateurs (sénégalais en particulier et africains en général) un large éventail de potentialités ? Que peut-elle bien englober si on considère que le parcours client est désormais omnicanal et que les entreprises doivent s’adapter continuellement pour parfaire leur offre de services ?

Qu'est-ce que la relation client ? 5 points clés pour vous améliorer

La relation client à l’ère numérique consiste d’abord à un ensemble de processus permettant de dématérialiser, d’automatiser, de fluidifier et d’accélérer les interactions avec les consommateurs. La transformation digitale influence directement la relation client, puisqu’elle permet une meilleure circulation des données et donc une connaissance plus approfondie des consommateurs. Les informations sont désormais collectées en temps réel pour permettre aux entreprises de proposer un service personnalisé. Les marques peuvent toucher leur client n’importe où et n’importe quand via différents canaux, ce qui leur permet de rester proches des consommateurs.

Booster la relation client, en Afrique, s’envisage donc au travers des pages de différents réseaux sociaux, mais aussi dans la maximisation des échanges via mobile (sms, appels, messaging…). Le marché africain des applications a connu une augmentation globale des installations de 41 % selon un rapport publié par AppsFlyer. Ceci, après avoir analysé plus de 6 000 applications et 2 milliards d’installations en Afrique du Sud, au Nigeria et au Kenya, entre le 1er trimestre 2020 et le 1er trimestre 2021.

Se digitaliser, encore et toujours.

L’immédiateté est le paramètre nouveau le plus déterminant. À l’ère des smartphones, des réseaux sociaux et autres nouveaux usages, les consommateurs sont de plus en plus connectés. Ils sont habitués à obtenir ce qu’ils souhaitent, quand ils le souhaitent et où ils le souhaitent, affichant des comportements et des motivations d’achat en constante évolution. Les entreprises doivent donc s’adapter au changement des modes de consommation si elles veulent continuer à séduire une clientèle en quête d’instantanéité.

Les prospects sont de plus en plus actifs sur les réseaux sociaux, de sorte que le démarchage est lentement, mais sûrement remplacé par la vente sur les médias sociaux. Les clients peuvent désormais s’adresser directement à vos comptes, ou vous pouvez les contacter par un DM, un tweet ou un commentaire. Les marques se sont ainsi emparées de ces nouveaux canaux pour répondre aux habitudes et aux usages des consommateurs africains.

En outre, l’analyse prédictive est en train de surclasser les études de marché ou enquêtes auprès des clients qui ont jusque-là été le moyen de profiler les consommateurs. Elle favorise l’engagement des clients et aide les entreprises à exploiter des sources d’information plus productives, telles que les données opérationnelles et financières.

LAfricamobile a facilité les interactions entre ses différents services dans la digitalisation, en comprenant de prime abord qu’il était indispensable de se préparer à une relation client 100 % digitale, ultra-réactive et efficace. En effet, la fluidité et la rapidité de la relation client dépendent en grande partie de la communication au sein de l’entreprise. LAM développe à l’interne une variété de modèles d’applications pour les entreprises dans tout ce qui résonnera auprès des clients à prendre de meilleures décisions pour l’avenir.

Comment réussir la digitalisation de son entreprise ?

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Rapport GSMA 2022 sur l’état du secteur de l’argent mobile : montant record de 1 000 milliards $

Le secteur de l’argent mobile est en forte croissance, avec un montant record de 1 000 milliards de dollars en 2021. C’est ce que révèle la GSMA dans son 10e rapport annuel sur l’état du secteur de l’argent mobile

(« SOTIR ») rendu public le 30 mars 2022.

Les portemonnaies électroniques, en hausse, offrent sans doute la meilleure illustration que l’argent mobile gagne du terrain au Sénégal. La tendance est similaire dans la sous-région ouest-africaine : 237 millions de comptes ont été enregistrés en 2021 et la valeur des volumes a égalé 239,3 milliards de dollar. Ces statistiques émanent des conclusions du 10e rapport annuel sur l’état du secteur de l’argent mobile GSMA 2022.

 

Globalement, le secteur de l’argent mobile est en forte croissance, avec un montant record de 1 000 milliards de dollars de transactions en 2021.

Dans les interactions financières post-Covid, l’argent mobile est appelé à jouer un rôle de plus en plus important. Le plus important est sans doute que le mobile money sera appelé à accélérer une inclusion formelle des individus et des entités exclues du système financier. Le rapport souligne également comment cet argent mobile et l’inclusion financière qu’elle entraine profiteront aux femmes en particulier.

 

L’un des principaux moteurs de cette croissance a été le paiement au profit de commerçants, qui ont presque doublé d’une année sur l’autre. L’argent mobile permet également aux femmes de mieux contrôler leurs finances et d’acheter des biens dont elles ont un besoin urgent. L’industrie a bénéficié d’une augmentation substantielle du nombre de comptes enregistrés, en hausse de 18 % depuis 2020 pour atteindre 1,35 milliard dans le monde. Le volume des transactions de personne à personne a été porté à plus de 1,5 million de dollars par heure.

En outre, ledit rapport souligne qu’en 2022 le nombre de personnes ayant besoin d’une aide humanitaire devrait atteindre 274 millions. L’argent mobile devrait jouer un rôle de plus en plus important tant dans les dons que dans la réception de l’aide.

En tant que l’une des plateformes leader de communication multicanale proposant des solutions digitales, LAfricamobile porte tout naturellement un intérêt à cette question du flux d’échanges de monnaie électronique.

La digitalisation est une priorité pour beaucoup de pays, de services et d’opérateurs. LAM aura son rôle à jouer dans le développement des systèmes d’information et de gestion, et des infrastructures numériques.

 

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Défis et solutions de la transformation numérique pour des entreprises performantes

L’éclatement de la pandémie mondiale de Covid-19 a accéléré une tendance à la digitalisation qui semblait inéluctable pour tout le monde. Par réalisme, vision, et impératif de survie, il est indispensable que les entreprises intègrent les solutions digitales à leur stratégie. 

Il est maintenant indiscutable que la numérisation de tous les types de services offre des avantages énormes dans presque tous les secteurs d’activités. Alors que les prévisions tablent sur 76 % des abonnements mobiles au haut débit et 70 millions d’abonnés à la 5G d’ici 2026 en Afrique subsaharienne, la transformation numérique  des entreprises apparait clairement comme le futur challenge d’un monde post-pandémique.

En Afrique de l’Ouest, qui compte 15 pays, l’écosystème digital de la région se développe rapidement, le nombre de pôles technologiques actifs passant de 84 en 2016 à 142 en 2018. A titre d’exemple, pour la banque mobile, la digitalisation des services a favorisé l’inclusion financière dans l’Union économique et monétaire ouest africaine  (UEMOA) avec un taux qui atteint 57,1 %. 

Pourquoi une solution digitale ? 

Entre janvier 2020 et janvier 2021, le nombre d’utilisateurs de mobiles a augmenté de 1,8 % (93 millions) dans le monde selon le rapport Digital 2021. La solution digitale est une réponse adéquate à l’organisation d’un travail appelé constamment à évoluer, à muter. 

Internet des objets, 5G, plateformes intranet, outils de communication ou de gestion… se transformer digitalement est devenu, pour les organisations au sens large, un impératif. En actualisant et en optimisant les méthodes de travail, les solutions digitales aident les entreprises à devenir plus performantes. L’évolution démographique des audiences en ligne et l’importance de la croissance du e-commerce (en plus du mobile), sont une raison de plus de ne pas rater le tournant digital. 

Les réticences peuvent être encore nombreuses pour des pays qui n’ont pas encore atteint la maturité digitale mais, comparé aux avantages et surtout à l’impérieuse nécessité de s’adapter, les solutions digitales sont incontournables. Les entreprises digitalisées peuvent témoigner que l’utilisation d’outils performants et novateurs leur ont permis de gagner du temps et un rendement supérieur, de centraliser l’information, d’améliorer la communication en interne et en externe, et d’avoir facilité l’expérience utilisateur.

LAfricamobile pour répondre aux besoins et enjeux numériques des entreprises

LAfricamobile (« LAM ») existe depuis 2014. C’est la première plateforme de communication multi-pays et multicanale en Afrique qui veut faire de la téléphonie mobile un levier de croissance pour les entreprises africaines. Elle répond à leurs enjeux, leur permet de créer un lien fort avec leurs propres clients pour développer leurs activités. Sa plateforme fait le lien entre l’entreprise et ses clients en proposant des services de SMS, USSD, de crédit téléphonique, de WhatsApp Business, ou vocaux. Et cela 7j/7, 24h/24. Pour chaque service, LAM propose une mise en place (en mode SAAS ou API) et suivi personnalisés.

  • SMS : le système de LAM est  connecté à plus de 30 opérateurs téléphoniques locaux. Ce qui garantit un suivi d’envoi et surtout de réception de vos messages publicitaires. Qu’ils soient de nature Push ou Pull, LAM  garantit un taux de « délivrabilité » optimal de 95 %, des campagnes automatisées. 
  • WhatsApp : l’incontournable de la messagerie instantanée devient plus agréable avec WhatsApp, qui facilite les échanges entre la marque et ses clients grâce aux nombreuses fonctionnalités. Pour vous faire gagner du temps, LAM vous simplifie l’accès à l’API de WhatsApp Business.
  • Push Vocal : le Push Vocal de LAM garantit une communication plus dynamique et adaptée à toutes vos cibles. Simple et dynamique, il permet d’informer, d’alerter ou même de questionner votre audience dans votre langue de choix. Enregistrez et diffusez vos messages à vos clients sur leur répondeur ou via un appel. 
  • USSD : la plateforme USSD de LAM ne nécessite aucune démarche auprès des opérateurs, et les échanges se font sans connexion internet ; elle est donc très simple d’utilisation. Vos données, ainsi que celles de vos clients sont sécurisées.
  • SVI : vous voulez mettre en relation vos clients avec un collaborateur de l’entreprise ou simplement lui apporter une réponse automatiquement ? Intégrez un SVI dans vos systèmes d’information (SI) d’entreprise, que ce soit un CRM ou dans vos bases de données.
  • Airtime : revendeur ou organisation ? Gérez votre crédit téléphonique (achat, distribution, revente) et envoyez du crédit à vos collaborateurs ou vos clients, le tout, sur une seule et même plateforme.

Les statistiques et données d’usage des produits sont disponibles en temps réel.

De nombreuses entreprises, petites ou grandes, travaillent déjà à bien réussir leur transformation numérique ou à optimiser leurs performances en mettant à profit les nouveaux outils digitaux mis à leur disposition par LAfricamobile. LAM, qui comprend les enjeux et maîtrise parfaitement les processus, les accompagne aujourd’hui dans huit pays d’Afrique centrale, de l’Ouest et en France.