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LAfricaMobile devient le premier agrégateur services mobiles au Sénégal et en Afrique francophone

Category: Telecom

Communiqué de presse : LAfricaMobile devient le premier agrégateur services mobiles au Sénégal et en Afrique francophone
LAfricaMobile, premier agrégateur du secteur des communications électroniques au Sénégal

Dakar, le 07 mars 2024 Première plateforme de communication et de marketing mobile en Afrique, LAfricaMobile est depuis le 26 févier 2024, le premier fournisseur de services d’agrégateur au Sénégal.

Ainsi que mentionné par l’Autorité de régulation des télécommunications et des postes du Sénégal, la start-up créée en 2014 et présente dans 9 pays d’Afrique sera connectée aux infrastructures des trois opérateurs de téléphonie à licence globale, à savoir Orange-Sonatel, Expresso et Free.

En tant qu’interface stratégique entre les fournisseurs classiques de service à valeur ajoutée et les sociétés de téléphonie, LAfricaMobile va jouer un rôle fondateur en améliorant l’expérience utilisateur et en optimisant les processus opérationnels pour les différentes parties prenantes du secteur.

« Le rôle d’agrégateur officiel va structurer davantage l’écosystème des télécoms au Sénégal et en Afrique, en apportant plus de simplicité à la fois aux opérateurs télécoms mais aussi et surtout, à l’ensemble des entreprises qui ont ce besoin d’utiliser l’infrastructure télécoms pour créer plus de valeur ajoutée », assure Malick Diouf, CEO et co-fondateur de LAfricaMobile , particulièrement reconnaissant à l’endroit de tous les acteurs qui se sont mobilisés pour que cette grande première soit une réalité.

« Nous profitons de cette occasion pour remercier toutes les parties prenantes qui ont rendu cela possible; particulièrement l’ARTP, les opérateurs télécoms, le Comité de Développement des SVA et tous les fournisseurs de Services à Valeur Ajoutée », indique Monsieur Diouf. En tant qu’agrégateur , LAfricaMobile est chargée de « faciliter l’interconnexion et la distribution efficace des services SVA et des contenus aux utilisateurs, permettant ainsi de réduire les délais y afférents », précise le Directeur général de l’ARTP, Monsieur Abdou Kaim Sall, rappelant que « l’Agrégateur SVA joue un rôle essentiel en tant qu’interface stratégique entre les fournisseurs classiques de services à valeur ajoutée et les opérateurs de communications électroniques ».

Cette signature du cahier des charges entre le régulateur sénégalais des télécommunications et des postes et LAfricaMobile coïncide avec les 10 ans de cette entreprise prometteuse, présente au Sénégal, au Burkina Faso, au Mali, en République Démocratique du Congo, au Togo, en Côte d’Ivoire, au Niger, au Bénin, et en Guinée Conakry.

LAM ambitionne de faire de la téléphonie mobile, un levier de croissance pour les entreprises en Afrique, en aidant les acteurs du tissu économique du continent à créer un lien avec leurs clients pour un meilleur développement de leurs activités.

 

Contacts presse :

Mame Diarra FALL
Responsable Marketing et Communication
+221774452904 / 338425855
d.fall@lafricamobile.com/ contact@lafricamobile.com


Télécharger le communiqué de presse 

 

ISO 27001
LAfricaMobile décroche la certification ISO 27001 : un gage pour la sécurité des informations

LAfricaMobile (LAM) vient d’obtenir la certification ISO 27001, la seule norme internationale auditable qui définit les exigences d’un SMSI (Système de Management de la Sécurité de l’Information).

Les consommateurs sont de plus en plus intransigeants avec la sécurité de l’information. C’est pourquoi l’Organisation internationale de normalisation (ISO) a créé les normes de sécurité ISO 27001, que les entreprises peuvent utiliser pour assurer la sécurité de leurs informations. 

 

La norme ISO 27001 est un système de gestion de la sécurité de l’information reconnu à l’échelle internationale qui exige d’une organisation qu’elle sécurise des domaines clés de ses opérations et de ses politiques afin de s’assurer qu’elle soit vigilante quant à la protection des données sensibles qu’elle héberge au sein de son réseau. La norme ISO 27001 fournit aux organisations – grandes et petites – un cadre pour protéger leurs informations, former leur personnel aux meilleures pratiques en matière de sécurité de l’information et leur inculquer une réflexion fondée sur les risques lorsqu’il s’agit de menaces potentielles pour leur organisation.

L’ISO 27001 est la seule norme internationale « auditable » qui définit les exigences d’un SMSI (Système de Management de la Sécurité de l’Information). Un SMSI est une approche systématique composée de processus, de technologies et de personnes qui vous aident à protéger et à gérer toutes les informations de votre organisation par une gestion efficace des risques. Au cœur d’un SMSI conforme à la norme ISO 27001 se trouvent des évaluations des risques axées sur l’activité, ce qui signifie que vous serez en mesure d’identifier et de traiter les menaces pour la sécurité en fonction de l’appétit et de la tolérance au risque de votre organisation.

Dans la lignée de sa philosophie de pionnier, LAM est l’une des toutes premières, et rares, startups de l’espace UEMOA africaines à détenir la certification ISO 27001. Ce qui démontre que LAfricaMobile se positionne toujours en temps qu’acteur digital de qualité et garantit un haut niveau de sécurité des données critiques de ses clients et de ses partenaires.

Utilités 

Quelle est la finalité de cette certification pour LAM et ses clients ? La raison la plus évidente d’obtenir la certification ISO 27001 est qu’elle aidera à éviter les menaces pour la sécurité. Il peut s’agir de cybercriminels qui s’introduisent dans votre organisation ou de violations de données dues à des erreurs commises par des acteurs internes et externes. Le cadre de l’ISO 27001 garantit que vous disposez des outils nécessaires pour renforcer votre organisation sur les trois piliers de la cyber sécurité : les personnes, les processus et les technologies.

Le processus de certification selon un système tel que l’ISO 27001 signale également aux investisseurs, aux fournisseurs, aux clients et aux principales parties prenantes que l’on reconnaît non seulement les risques et l’importance de protéger les données des mains de tiers non autorisés, mais démontre aussi que l’on s’attaque à ces risques de manière proactive. Les cyberattaques sont en augmentation  partout dans le monde, et peuvent avoir un impact considérable sur l’organisation et la réputation des entreprises. Un système de gestion certifié est donc un gage de sécurité renforcée pour tous les acteurs du digital. 

Enfin, la norme ISO 27001 aide également à éviter les pénalités coûteuses associées à la non-conformité aux exigences de protection des données. 

Etat des lieux de la connectivité Internet en Afrique : un gap à combler avant 2030
Etat des lieux de la connectivité Internet en Afrique : un gap à combler avant 2030

Malgré la croissance récente de la connectivité Internet, le continent africain est à la traîne par rapport aux autres régions du monde. La Banque mondiale va appuyer le continent à atteindre la connectivité universelle d’ici 2030, qui est également la date butoir pour la stratégie de transformation numérique de l’Union africaine, aspirant à un accès numérique universel et à un marché numérique panafricain unique. De gros obstacles demeurent en dépit d’une volonté ferme de prendre le virage numérique.

L’Afrique a encore de la place pour atteindre son potentiel de développement numérique. Toutes les statistiques montrent la marge de manœuvre à exploiter. Selon la Banque mondiale, 30 % d’individus utilisent Internet en Afrique sub-saharienne. Ce qui signifie qu’un progrès a été fait, mais beaucoup reste à faire pour combler le gap. Le rapport sur l’État de la connectivité à l’Internet mobile 2021 a conclu que l’Afrique subsaharienne présente le plus grand déficit de couverture (personnes vivant dans des zones sans couverture haut débit mobile), soit 19 %, ce qui représente plus de trois fois la moyenne mondiale. Si l’accès à internet est devenu plus abordable, notamment grâce aux téléphones mobiles, les coûts restent élevés, par contre, pour de nombreux habitants de la région. Les disparités intra-africaines sont d’autant plus frappantes. A titre d’exemple, dans la région Est de l’Afrique, 341 millions de personnes n’utilisent pas internet alors que la partie australe du continent totalise seulement 23 millions qui ne font pas usage du net. La sous-région ouest-africaine est la deuxième zone qui totalise le plus grand nombre de personnes non connectées à Internet (241 millions) – quoique le Nigeria compte le plus grand nombre d’utilisateurs internet sur le continent en décembre 2020 (154 millions d’individus) –. L’Afrique centrale compte 142 millions de personnes non connectées alors que l’Afrique du Nord affiche des chiffres passables (92 millions). 

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Les bonds en avant du futur 

Le potentiel de croissance est réel dans ce continent vaste, mais il dépendra essentiellement de la garantie d’un accès numérique abordable et généralisé. Cela nécessitera des capitaux importants de la part des investisseurs et des financiers. Selon une estimation de la Banque mondiale, l’Afrique aura besoin d’un investissement total de 100 milliards de dollars (86 milliards d’euros) pour connecter chaque citoyen à Internet d’ici 2030. En octobre 2021, le géant américain Google a annoncé son intention d’investir un milliard de dollars en Afrique au cours des cinq années à venir. Ces fonds massifs permettront d’assurer l’accès à un Internet rapide et abordable et de soutenir les start-ups afin de favoriser la transformation numérique du continent. Le Nigeria, le Kenya, le Ghana et l’Ouganda en seront les principaux bénéficiaires. Ce qui présage d’une avancée dans les années à venir d’autant que les efforts fournis jusque-là sont considérables. Les vitesses moyennes de téléchargement en Afrique ont doublé entre 2015 et 2019, tandis que les coûts des données ont été divisés par deux. La pénétration de la téléphonie mobile en Afrique pourrait atteindre 50 % soit plus de 600 millions de connexions, dont 65 % via des smartphones) d’ici 2025. Le rapport 2021 de la GSMA montre que le fait de posséder un smartphone est un facteur important pour devenir un utilisateur régulier de l’internet mobile. Dernière incitation à une politique numérique, la pandémie de Covid-19 a fortement accéléré l’innovation et la demande d’infrastructures numériques supplémentaires sur le continent. Bon nombre des changements pour l’industrie qui ont été effectués par les gouvernements des pays subsahariens pendant la pandémie ont mis l’accent sur l’accessibilité numérique. 

L'économie mobile Afrique subsaharienne

digitalisation de la relation client
Booster la relation client à l’ère numérique : quand la connectivité et l’omnicanal changent la donne

Booster la relation client à l’ère numérique : quand la connectivité et l’omnicanal changent la donne

Les consommateurs se sont tournés en nombre vers le numérique depuis la pandémie mondiale de coronavirus. Pour de nombreuses entreprises, ces changements imprévus ont mis en évidence un besoin urgent d’améliorer l’expérience client et de la rationaliser sur tous les canaux. Les organisations qui exploitent les données, promeuvent leurs valeurs, et créent un parcours client omnicanal convaincant, seront bien placées pour réussir dans un avenir en mutation.

Que signifie donc booster sa relation client au 21e siècle où l’élargissement de la connexion à Internet, via les smartphones, offre aux consommateurs (sénégalais en particulier et africains en général) un large éventail de potentialités ? Que peut-elle bien englober si on considère que le parcours client est désormais omnicanal et que les entreprises doivent s’adapter continuellement pour parfaire leur offre de services ?

Qu'est-ce que la relation client ? 5 points clés pour vous améliorer

La relation client à l’ère numérique consiste d’abord à un ensemble de processus permettant de dématérialiser, d’automatiser, de fluidifier et d’accélérer les interactions avec les consommateurs. La transformation digitale influence directement la relation client, puisqu’elle permet une meilleure circulation des données et donc une connaissance plus approfondie des consommateurs. Les informations sont désormais collectées en temps réel pour permettre aux entreprises de proposer un service personnalisé. Les marques peuvent toucher leur client n’importe où et n’importe quand via différents canaux, ce qui leur permet de rester proches des consommateurs.

Booster la relation client, en Afrique, s’envisage donc au travers des pages de différents réseaux sociaux, mais aussi dans la maximisation des échanges via mobile (sms, appels, messaging…). Le marché africain des applications a connu une augmentation globale des installations de 41 % selon un rapport publié par AppsFlyer. Ceci, après avoir analysé plus de 6 000 applications et 2 milliards d’installations en Afrique du Sud, au Nigeria et au Kenya, entre le 1er trimestre 2020 et le 1er trimestre 2021.

Se digitaliser, encore et toujours.

L’immédiateté est le paramètre nouveau le plus déterminant. À l’ère des smartphones, des réseaux sociaux et autres nouveaux usages, les consommateurs sont de plus en plus connectés. Ils sont habitués à obtenir ce qu’ils souhaitent, quand ils le souhaitent et où ils le souhaitent, affichant des comportements et des motivations d’achat en constante évolution. Les entreprises doivent donc s’adapter au changement des modes de consommation si elles veulent continuer à séduire une clientèle en quête d’instantanéité.

Les prospects sont de plus en plus actifs sur les réseaux sociaux, de sorte que le démarchage est lentement, mais sûrement remplacé par la vente sur les médias sociaux. Les clients peuvent désormais s’adresser directement à vos comptes, ou vous pouvez les contacter par un DM, un tweet ou un commentaire. Les marques se sont ainsi emparées de ces nouveaux canaux pour répondre aux habitudes et aux usages des consommateurs africains.

En outre, l’analyse prédictive est en train de surclasser les études de marché ou enquêtes auprès des clients qui ont jusque-là été le moyen de profiler les consommateurs. Elle favorise l’engagement des clients et aide les entreprises à exploiter des sources d’information plus productives, telles que les données opérationnelles et financières.

LAfricamobile a facilité les interactions entre ses différents services dans la digitalisation, en comprenant de prime abord qu’il était indispensable de se préparer à une relation client 100 % digitale, ultra-réactive et efficace. En effet, la fluidité et la rapidité de la relation client dépendent en grande partie de la communication au sein de l’entreprise. LAM développe à l’interne une variété de modèles d’applications pour les entreprises dans tout ce qui résonnera auprès des clients à prendre de meilleures décisions pour l’avenir.

Comment réussir la digitalisation de son entreprise ?

Impact de la Covid-19 sur l’industrie des Télécoms en Afrique
Impact de la Covid-19 sur l’industrie des Télécoms en Afrique : l’opportunité du grand bond technologique

La pandémie mondiale de Covid-19 a été, et demeure toujours, une occasion pour l’Afrique de stimuler une transformation numérique qu’elle avait déjà amorcée. Des nouvelles habitudes de consommation à l’inclusion financière, le continent africain est, depuis mars 2020, dans une dynamique de évoluer ses solutions digitales. 

La propagation rapide de la Covid-19 et de l’augmentation du nombre de pays imposant des restrictions de mouvement, a introduit un nouveau paramètre dans les usages quotidiens. Ces deux dernières années, on est resté plus longtemps à la maison, utilisant davantage de données pour le travail et pour les loisirs. Les opérateurs de télécommunications ont vu croître jusqu’à 60 % de données en plus sur leurs réseaux, selon le Forum économique mondial qui cite le Global Entertainment and Media Outlook 2021-2025. 

Les applications mobiles, nouveau terrain de jeu

Un précédent rapport publié par AppsFlyer et Google a révélé un marché africain des applications mobiles en plein essor, propulsé par un espace fintech en pleine croissance, une augmentation des « super apps » due à la pandémie de Covid-19, entre autres facteurs. Le rapport révèle que le marché africain de ces applications a connu une augmentation globale des installations de 41 %. Le Nigeria a enregistré la plus forte croissance, avec une hausse de 43 %, suivi par l’Afrique du Sud (37 %) et le Kenya (29 %). Ceci, après avoir observé plus de 6 000 applications et 2 milliards d’installations en Afrique du Sud, au Nigeria et au Kenya, entre le 1er trimestre 2020 et le 1er trimestre 2021. 

Le commerce en ligne, nouvelle tendance 

Les conclusions de différentes études convergent, en grande partie, vers un résultat : le commerce électronique devient la nouvelle norme. Une étude sur le commerce électronique de Mastercard a révélé que 73 % des consommateurs au Moyen-Orient et en Afrique faisaient davantage leurs achats en ligne qu’avant la pandémie. Une autre statistique a montré que le nombre de personnes accédant à des biens et services en ligne, en Afrique, était à son maximum avec une augmentation de 55 % sur Android et de 32 % sur iOS en 2021 ; les dépenses des consommateurs augmentant globalement de 55 %. Des secteurs comme le commerce mobile continueront à connaître une croissance exponentielle d’ici 2025  en Afrique, car de plus en plus de consommateurs, en particulier ceux qui n’étaient pas familiers avec la technologie, s’habituent aux achats en ligne via des applications mobiles. Il est prévu que le commerce social prenne plus de place dans l’espace global du marketing mobile. 

L’Afrique, 43 % du total des comptes d’argent mobile actifs 

Les fintechs constituent l’autre satisfaction. L’Afrique a le potentiel d’être un marché important pour les super « apps » notamment les fintechs. A la fin 2021, il y avait 548 millions de comptes enregistrés dans la région de l’Afrique subsaharienne, dont plus de 150 millions étaient actifs chaque mois. Le Kenya à l’Est et le Nigeria à l’Ouest, sont les locomotives de cette croissance. Ce qui représente 43 % du total des comptes d’argent mobile actifs dans le monde. Ces applications offrent la commodité aux consommateurs, car elles fournissent l’infrastructure de base nécessaire à la population non bancarisée et un accès facile à un large éventail de services. Une aubaine pour réaliser le plus rapidement possible l’inclusion financière de milliers d’Africains exclus du système bancaire formel. 

Challenges 

Le défi a été, et demeure,  grand pour le l’Afrique. Le continent abrite 19 des 20 pays les plus jeunes du monde et le taux  de  pénétration des abonnés mobiles uniques dépassera 50% d’ici 2025 d’après GSMA. Selon la Banque mondiale toutefois, seuls 294 millions de personnes ont accès à Internet sur une population de plus d’un milliard d’habitants. La situation pandémique a mis en évidence l’ampleur de la fracture numérique mondiale, qui plus qu’un désavantage a été une opportunité d’évaluer la profondeur de la faille et d’y remédier.  La pandémie a permis de diagnostiquer le mal à ses justes proportions et peut-être d’y amener les solutions les plus adéquates. 

Performances continues en 2021 : le bond en avant de LAfricamobile


LAfricamobile, plateforme de communication multi-opérateurs et multicanale panafricaine, continue sur sa lancée. Dans le sillage d’une bonne année 2021, elle projette de se concentrer sur l’Afrique centrale pour 2022, et propose à ses clients un choix de canaux de plus en plus étendu, notamment, WhatsApp Business API, un outil puissant pour les moyennes et grandes entreprises.

Dans la logique d’accompagner les nombreuses entreprises, petites ou grandes, travaillant à bien réussir leur transformation numérique ou à optimiser leurs performances, LAfricamobile (« LAM ») a eu une année 2021 bien remplie : 

  • 90 000 000 de transactions assurées 
  • + de 30 opérateurs connectés
  • Présence dans plus de 15 pays d’Afrique 
  • More than 200 customers 

 

Pour cette nouvelle année, LAM se fixe comme objectif de renforcer et consolider sa présence en Afrique centrale.  Dans un contexte où le coût de la réduction de la fracture numérique en Afrique est estimé, d’ici 2030, à 100 milliards de dollars, il est urgent de démocratiser l’accès aux services mobiles et numériques. 

 

 « WhatsApp Business API », nouvelle «offre » pour la nouvelle année

 

Avec plus de deux milliards d’utilisateurs dans plus de 180 pays et plus de 100 milliards de messages envoyés quotidiennement, intégrer l’application de messagerie mobile la plus utilisée au monde est presque une évidence. LAfricamobile propose l’API WhatsApp pour les entreprises ou  « WhatsApp Business API », qui permet aux moyennes et grandes entreprises d’être là où sont leurs clients et de créer des liens forts avec eux. L’API WhatsApp pour les entreprises permet de fournir des expériences clients encore plus poussées et personnalisées en prenant en compte le contexte. Et tout cela de manière programmatique. 

 

Elle est différente de la WhatsApp Business qui elle est une application gratuite destinée aux petites entreprises et qui n’autorise qu’un seul utilisateur par entreprise.

 

Cette API intégrable dans vos solutions est facile d’utilisation avec son interface intuitive, et permet un envoi en masse à un taux de délivrabilité de 100 % sans perte de temps. Vous pouvez envoyer à vos clients des notifications sur les mises à jour des commandes ou les services de livraison, des rappels et confirmation de RDV, des confirmations de paiement, des informations sur leurs comptes bancaires, etc.

Les avantages qu’elle offre sont, notamment : un nombre illimité d’utilisateurs pour un seul numéro, des messages textes allant jusqu’à 4 096 caractères, des messages multimédias (images, sons, vidéos), des contacts et messages de localisation, des chatbots pour automatiser vos conversations.

 

WhatsApp Business API peut aussi être utile au service client en permettant une meilleure implication et un engagement plus marqué des clients. Elle garantit une meilleure interactivité par des réponses rapides aux questions, aux problèmes ou aux informations dont les clients auraient besoin dans des délais très courts avec des messages enrichis. L’API offre également une garantie de sécurité avec un des moyens les plus sûrs pour des vérifications de compte, de paiement, de commandes… elle est cryptée et seul le destinataire pourra voir le message.